YAYETH CORPSE
– Revere The Unholy
(Self Released): This
band was
formed back in 1999, in Lunéville, France. Their actual
discography consist in
two demos; “Far Beyond The Horny Mount” released as
a demo
tape in September
’99 and lately re issued as a demo Cd in September
’00,
“Unleash The Unholy
Anger” demo 2002 and their first full length
“Revere The
Unholy”, released in early
2005. The first thing that catches my attention about this horde was
their
name; it is based, as the whole concept of the band, in the discovery
of a new deity,
Yayeth the Monarch of the Corpses. I must admit I have never heard
about this divinity,
but the entire idea sounds really interesting to me… Anyway,
let’s talk about
music. Yayeth Corpse delivers an accurate Black/Death Metal hybrid,
their main
influences, according with the info sheet, ranges from Morbid Angel,
Immolation
to Emperor and Satyricon. Although the mentioned bands really seem to
have
influenced their sound, the music of Yayeth Corpse is more than a sum
of their
influences. Their music is mainly based on mid paced Death Metal
structures,
where the mid tuned guitars drive the whole music through, tortuous and
aggressive Black Metal based atmospheres. The voices are principally
mid to low
deathly grunts, with some occasional blackish shrieks adding a quite
disturbing,
grim aura. The drumming is mainly based on mid paced structures, with
muscular
double bass mid paced, pounding parts and some intense, blasting
passages. Despite
of the brutal references of this album, it also contains a certain
quote of melodicism,
which amalgamates the brutality of Death Metal and grimness of Black
Metal in
some peculiar way. The production is quite weak, the drum sound is
pretty raw,
and seems to be a little high mixed in comparison with the other
instruments,
but that OK for a self-produced work. The whole album artwork is
excellent,
with great pictures and a small booklet containing all the lyrics.
“Revere The
Unholy” is a nice album, with a couple of details to improve,
but
completely obscure
and brutal. (AP)
Lorsque certains réutilisent encore et toujours les
mêmes
sujets, usés jusqu'à la moelle, d'autres comme
Yayeth
Corpse créent de toute pièce leur univers, leur
mythologie, leur Dieu (Yayeth), … et mettent tout
ça sous
forme de Death metal pesant aux reflets black metal.
Leur musique n'est pas une recherche technique, mais laisse plus la
place aux ambiances sombres et occultes où
résonne la
voix sépulcrale et les riffs torturés. Tous
ça
nous plonge en plein cœur de l'histoire du culte de Yayeth,
que
vous pouvez d'ailleurs lire sur leur site.
Malheureusement, la production de "Revere The Unholy" n'est pas des
plus adaptées aux compos de ce quartet français
et l'opus
perd donc dans l'aspect audible de tous les instruments.
N'exagérons rien, je ne voudrais pas faire croire que c'est
inécoutable, mais disons que le son laisse un peu
à
désirer. Mais Yayeth viens seulement de renaître
et nous
attendons tous la suite des macabres évènements!
Chronique complète :
http://www.arnwald.be/Yayethcorpse.htm
Forcément,
vu la
pochette, le patronyme, le titre de l’album et le logo, il ne
fallait pas s’attendre à du glam-rock
!Voilà donc
du death métal genre coup de pioche dans le crâne
et
triple fracture du tibia de chrétien. Je ne suis pas trop du
genre à traîner dans les caveaux humides les soirs
de
pleine lune et je dois avouer que ce genre n’est pas vraiment
ma
tasse de jus d’asticot. Tient justement, ça
asticote
sévère du côté des Yayeth
et je
reste encore époustouflé par l’organe
d‘Excuriate.
Vocal l’organe, vocal, hein ? Sacré bête
à
cornes, il s’est fait greffer une caisse de
résonance dans
le thorax ou quoi ? Ca existe chez les humains ce genre de basse
fréquence ? Hum, doit pas être du coin ce type
…
Bouh, ça fout les jetons ! ( Monastic
Pain Experimentra)Heureusement
pour moi (et peut-être malheureusement pour les fans ultra de
death..), cet album revêt une petite coloration black pas
désagréable du tout.Donc, du death on disait.
J’ai
failli tout arrêter après « The
Book »
et sa batterie genre « je
tape sur un tombeau vide et
ça fait poc poc poc »Mais
c’est mal me
connaître. Je suis plutôt dans le style
persévérant et j’ai laissé
cette relique
gluante continuer à jeter son fiel. Je me suis alors surpris
à remettre « Awareness
», « Far beyond the
Horny Mount » et le
death-black-death « Unholy
army of Death ». Ca
fleure bon le Mayhem parfois, non ?
C’est mortellement sombre et il est fort à parier
qu’à l’écoute de ce grimoire,
bon nombre de
crucifix vont être excommuniés et glisser du
côté obscure
http://lesaccrosdumetal.com/chroniques.php?action=voir&id=142
"
Autour d'
une
musique à mi-chemin entre le death et le black. , le combo
développe un concept autour d' une divinité
imaginaire et
malfaisante. Mais entrons
maintenant dans le vif du sujet !!! Sur ce "Revere The Unholy" , on
peut entendre beaucoup de passages sombres et
ténébreux
qui permettent de situer le groupe quelque part entre la
brutalité d' un Immolation et la finesse malsaine d' un
Emperor
par exemple . Pas forcément rapide donc , mais la
brutalité de leur musique est plus insidieuse que
ça et
donc moins direct. En bref ,
un bon disque qui plaira autant au public death que black "
Chronique
complète :
http://metalfly.free.fr/zine/reviews/cd/yayethcorpse.htm
"
Pas
forcément tourné vers une musique juste rapide,
ce groupe
privilégie aussi et avant tout les ambiances
ténébreuses par des riffs assez lents, des
passages
sombres et sobrement mélodiques, une rythmique dans
l'ensemble
assez sourde et un chant death qui personnalisera le groupe par un
timbre assez caverneux. De quoi renforcer assurément le
côté inquiétant de la chose. Ceci
étant dans
l'ensemble assez représentatif de "Revere the unholy" qui
laisse
à entrevoir quelques influences old school par aussi
quelques
intros glauques, certaines compos exploreront des contrées
plus
personnelles avec pour exemple "Malignant symbol of unlife" qui
côtoiera des passages black avec des chants death/black mis
en
duo. Un titre occulte, notamment sur ces bons passages en voix claires.
Ou encore "Unholy army of death" et ses chants bien agressifs.. Se
voulant ainsi torturé et nauséabond, le death
métal que nous offrira YAYETH CORPSE sera celui
voué
à conter l'enfer nauséeux et morbide du dieu
Yayeth. Une
musique techniquement pas forcément recherchée
mais
à l'ambiance sombrement réussie ! Aux amateurs...
laissez
donc ce quatuor vous narrer son univers lacéré...
A noter
en passant, qu'en compagnie d'un cd pressé, "Revere the
unholy"
renferme un livret complet, au plaisir de ceux qui voudront explorer ce
concept ..."
Chronique
complète :
http://lapartdombre.free.fr/chro%20yayeth%20corpse.htm
I musicisti che compongono
questi Yayeth
Corpse non sono certo dei
bambini: il più giovane, il chitarrista Darknitter, ha
già ventinove anni. Gli altri membri della band, Excruciate
(voce e basso), Tourment (chitarra) e Impeltor (batteria), hanno
età comprese fra i trenta ed i trentasei anni.
Già questi dati anagrafici dovrebbero suggerire un certo
equilibrio nel songwriting, figlio dell'esperienza ed esente da
eccessivi entusiasmi adolescenziali.
Questa band francese è sulle scene dal 1999, e con "Revere
The Unholy" prova ad affacciarsi alla scena internazionale. L'album
è stato registrato nel luglio 2004 e mixato nel gennaio 2005
allo Studio MP, sotto la supervisione di M. Pelforth (autore
dell'introduzione di questo CD).
Copertina e libretto sono
molto
professionali. Dietro l'inquietante
fotografia di due teschi, si aprono ben dodici pagine contenenti i
testi e le foto dei musicisti. I colori sono tutti molto scuri. Sul CD
è stampata l'immagine di un mostro trionfante, sopra una
pila di teschi.
"Revere The Unholy" è un concept album, ispirato alla figura
fantastica di Yayeth, il dio dei cadaveri. Attraverso i testi ne
seguiamo l'evocazione, il risveglio e la vittoria sui viventi di questo
mondo. E' inoltre onnipresente un'accusa contro la chiesa cristiana.
Dopo una breve introduzione ("What Bred The Despitable"), costituita da
suoni ed effetti sonori in perfetto stile horror, ecco partire "The
Book". Il testo di questa canzone altro non è che il primo
sonetto della nota raccolta poetica di H.P. Lovecraft "Fungi From
Yuggoth". Sin dalle prime battute, si capisce che la musica di questi
Yayeth Corpse è un riuscito ibrido tra death e black metal.
Tipica del primo genere è l'impostazione vocale di
Excruciate, il cui gutturale è profondo ma non potentissimo.
Il suo timbro è ben amalgamato col suono possente della band
(purtroppo non sostenuto da una produzione eccezionale), che non si
risparmia né in energia brutale, né in potenza
evocativa tipica del black. Molte soluzioni sonore, alcune successioni
armoniche, portano indelebile il marchio dei Satyricon e dei Thorns.
Nel suo insieme, "The Book" funziona piuttosto bene.
"Monastic Pain Experimentra" è un brano di
un'oscurità strisciante. Il suono delle chitarre
è cupo come non mai. Di black non c'è quasi
nulla, anzi. Si tratta di una valida canzone brutal, dalla struttura
semplice e ripetitiva. Come nel brano precedente, si segnala un assolo
atonale di chitarra.
La fiamma nera torna a crepitare in "Malignant Symbol Of Unlife".
Dall'introduzione all'apertura in blast-beat, la canzone sfodera tutta
una serie di buoni riff. Gli strilli di Darknitter si uniscono al
growling di Excruciate. L'esecuzione è molto intensa.
Nonostante le varie accelerazioni, "Malignant Symbol Of Unlife"
è assestata, per tutta la prima parte, su una ritmica in
mid-tempo piuttosto insistente e decisa. In questo caso, la fusione tra
death e black (preponderante) è particolarmente riuscita. La
seconda parte è più energica, ed incorpora
elementi thrash. Mano a mano che la traccia procede, la tensione sale
alle stelle. A concludere il tutto, una coda melodica tanto inaspettata
quanto azzeccata.
"Morbid Catacombs" è una traccia che alterna sezioni furiose
ad altre fangose e malsane. Il suono compresso, ribassato degli Yayeth
Corpse fa il suo effetto, grazie anche ai riff azzeccati e ad una
melodia cattiva, anche un po' epica. Il testo tratta della discesa di
tre individui in catacombe dimenticate dal tempo, allo scopo di
risvegliare la divintà Yayeth. La musica segue la
narrazione, in un susseguirsi eroico di malvagità.
Chronique complète :
http://www.shapeless.it/recealbum/yayethcorpse-reveretheunholy.htm